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L’Occident se déshonneur !

Par C.B.-- 13-Oct-2023 0

L’entité sioniste se livre à des massacres à Gaza et en Cisjordanie, montée de l’hystérie du génocide occidental

Sur Telegram, l’armée sioniste a indiqué avoir frappé, cette nuit, “750 cibles militaires” dans le nord de la bande de Gaza.

“Des dizaines d’avions de combat ont également frappé 12 installations ‘’militaires’’, chacune située dans un bâtiment de plusieurs étages’’, écrit l’armée sioniste dans son communiqué.

Plus de 4000 tonnes d’explosifs ont été lâchées sur la bande Gaza et plus de 1799  personnes tuées et plus de  7000 blessés.

Plus de 50 personnes tuées et plus de 700 blessés en Cisjordanie.

Plus de 500 enfants tués à Gaza?

Selon les autorités locales, depuis le début de l’opération israélienne sur Gaza, plus de 1799 personnes sont mortes, dont plus  500 enfants. Des familles totalement décimées.

Le Hamas « paiera un prix sans précédent » pour sa « guerre », a déclaré Benyamin Nétanyahou. Son ministre

1799/ 6399 blessé

Alors que la droite et l’extrême droite de plusieurs pays Européens sont alignées, comme toujours, sur les positions américaines et sionistes, pour une partie de la gauche et d’intellectuels, le fond colonial de cette nouvelle guerre ne doit pas être éludé pour trouver une porte de sortie.

États-Unis, France, Allemagne, Italie, Royaume-Uni «soutiendront les efforts d’Israël pour se défendre ?!»

Les États-Unis, l’Allemagne, la France, l’Italie et le Royaume-Uni «soutiendront les efforts d’Israël pour se défendre» et condamnent «sans ambiguïté possible le Hamas et ses actes terroristes révoltants», selon un communiqué commun publié lundi après un entretien des dirigeants des cinq pays.

«Nous tous reconnaissons les aspirations légitimes du peuple palestinien et nous estimons que les Israéliens et les Palestiniens ont droit, dans la même mesure, à la justice et à la liberté. Mais ne nous leurrons pas: le Hamas ne représente pas ces aspirations et il n’offre rien d’autre au peuple palestinien que plus de terreur et de sang versé», écrivent le chancelier allemand Olaf Scholz, le président américain Joe Biden, le président français Emmanuel Macron, la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni et le premier ministre britannique Rishi Sunak, dans ce texte diffusé par la Maison-Blanche.

Une question se pose : Est-ce que ces dirigeants occidentaux représentent-ils les Palestiniens pour juger ce que ce peuple aspire et avec qui ? Comment parle-t-on de droit de se défendre pour l’un et ligote l’autre ? Comment parlent-ils de justice et de liberté alors que Gaza et le peuple Palestiniens est en prison depuis des décennies, affamé depuis plus de 17 ans, tués en longueur d’année ? De quelle justice parlent-ils quand ils sont plus extrémistes et fascistes  que les sionistes eux-mêmes ?

Les discours prononcés par ces dirigeants occidentaux ont atteint les sommets de la réaction politique et de la faillite intellectuelle, humaine et diplomatique. Alors que l’armée israélienne rasait systématiquement les immeubles résidentiels de Gaza, tuant des centaines de civils et démolissant des milliers d’habitations,   ces pseudo-démocrates donnaient le feu vert au gouvernement Netanyahou d’extrême droite pour commettre des massacres, ce génocide.

La satire de ce groupe de fascistes  n’avait d’autre but que d’orienter et d’enflammer l’opinion publique, de susciter autant de haine que possible à l’égard des Palestiniens et de justifier tous les crimes commis par l’entité sioniste, quels qu’ils soient.

Ils se sont exprimés non pas comme des  dirigeants de ‘’grandes nations’’ exposant la politique de leur gouvernement, mais comme des gangsters réclamant vengeance et extermination de toute un peuple opprimé, séquestré, colonisé, violé, terrorisé, emprisonné, privé de tout ses droits,… qui ne cherche qu’à se défendre et à retrouver son indépendance ! Un peuple qui veut faire valoir ses droits reconnus par l’ONU

Après ces discours et ses positions aveugles, c’est impossible pour leurs gouvernements et leurs alliés politiques  de se dissocier de tout ce que le gouvernement israélien a fait ou fera. En effet, l’alignement des partis de droites, d’extrêmes droite, des suprématistes, des fascistes, des racistes, des impérialistes,…qui suivaient comme des moutons, derrière cette version sioniste, avait pour but de souligner le message :    telle est la politique des gouvernements occidentaux.

Les remarques de Biden, reprises par ses alliés,  ont, comme on pouvait s’y attendre, incité les Israéliens à commettre des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

Immédiatement après ces discours, l’entité sioniste a commencé à utiliser du phosphore blanc pour créer des tempêtes de feu dans les zones civiles, ce qui constitue un crime au regard du droit international. Mardi, Israël a bombardé le siège de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, ainsi que d’innombrables autres bâtiments de plusieurs étages.

Israël a continué à priver les Palestiniens de nourriture, d’eau et d’électricité, conformément à l’engagement pris par Netanyahou de réduire à l’état de «ruines» toutes les régions qui résistent à l’occupation israélienne.

Le langage de Biden et ses acolytes est de la promotion et de la légitimation sans scrupule d’un génocide. La résistance des Palestiniens est une manifestation, a commencé Biden, d’un «mal absolu». Ces propos font écho aux déclarations du chef de fil des sionistes Benjamin Netanyahu, qui a qualifié mardi les Palestiniens d’«animaux». Le ministre de la Défense de Netanyahou, Yoav Gallant, a déclaré: «Nous combattons des animaux humains et nous agissons en conséquence».

Affirmer que l’on a affaire à un «mal absolu», c’est soustraire les événements à toute analyse rationnelle. Dans cette vision manichéenne et semi-religieuse du monde, le «mal» ne peut être traité que par l’élimination, l’extermination et le meurtre.

Biden et ses alliés  n’ont pas appelé à un cessez-le-feu. Ils n’ont pas appelé à des pourparlers de paix. Ils n’ont pas appelé à la médiation ou à l’arbitrage. Ils n’ont pas appelé l’entité sioniste à la retenue. Ils n’ont pas mis en garde contre l’effusion de sang incalculable qui résulterait d’une invasion israélienne de Gaza !

Multipliant les références incendiaires aux victimes israéliennes de l’incursion palestinienne dans le territoire illégalement occupé par l’entité sioniste, Biden et ses complices   n’ont pas fait une seule référence aux victimes palestiniennes de la violence israélienne.

Au cours des 75 dernières années, des centaines de milliers de Palestiniens ont été massacrés par les troupes israéliennes et les forces fascistes aujourd’hui représentées au sein du gouvernement israélien. Aucun de ces meurtres n’a fait l’objet d’une condamnation de la part des États-Unis ou ses  compagnons, et encore moins d’une déclaration selon laquelle les Israéliens étaient l’incarnation du «mal».

Les propos de Biden et de toute son alignée ont été accompagnés d’un torrent de propagande dans les médias américains et occidentaux  qui visait à bloquer tout examen critique du conflit en se concentrant uniquement sur la violence exercée par le Hamas contre les civils, tout en ignorant la violence – de plusieurs ordres de grandeur supérieure et barbare – infligée aux Palestiniens par l’entité sioniste.

«Nous sommes aux côtés d’Israël», ont déclaré Biden, Macron, Meloni, Sunak, Olaf Scholz et plusieurs  autres dirigeants occidentaux qui n’ont allégeance qu’aux Etats-Unis et le lobby sioniste. «Rien ne justifie le terrorisme.», disent-ils. Il n’y a pas d’excuse à la violence des Palestiniens, mais il y a toujours une excuse à la violence de l’entité sioniste. Et ce malgré le fait que, depuis 2008, 20 fois plus de Palestiniens ont été tués dans le conflit que d’Israéliens: 6.400 contre 300.

Biden et les dirigeants pro-sionistes ont déclaré: «Comme toutes les nations du monde, Israël a le droit de répondre et a même le devoir de répondre à ces attaques brutales». Toutes les nations, sauf les Palestiniens.

Biden, Macron, Meloni, Sunak, Olaf Scholz et plusieurs  autres dirigeants occidentaux ont tout simplement ignoré volontairement toute histoire antérieure du conflit actuel. Les Nations unies ont condamné Israël pour avoir installé sa population sur des territoires palestiniens illégalement annexés, pour avoir empêché les Palestiniens de voyager librement et pour avoir systématiquement recours au meurtre, à la torture et à la détention illimitée dans le cadre de sa politique d’État.

Biden a menacé de déchaîner la force militaire américaine contre tout gouvernement qui oserait intervenir en faveur des Palestiniens. S’exprimant à la manière d’un parrain de la mafia qui multiplierait les menaces à la pointe du fusil, Biden a déclaré: «À tout pays, à toute organisation, à quiconque envisage de tirer parti de cette situation, je dis ceci: ne le faites pas. La réponse des États-Unis, a ajouté Biden, sera «rapide, décisive et écrasante».

De leur coté, les dirigeants européens pro-sionistes, en plus de leurs déclaration incendiaires et leur propagande pyromane, ils se sont accourus  à envoyer des armes aux sionistes pour tuer plus.

Ce langage et comportement n’intimideront pas; ils ne feront que provoquer la colère. Pour l’écrasante majorité des populations du monde, dont beaucoup continuent à vivre avec les souvenirs amers du colonialisme, ils ne susciteront que du dégoût.

Biden a déclaré: «Je n’ai pas de priorité plus élevée que la sécurité des Américains pris en otage». Mais en approuvant sans retenue les actions d’Israël, il assure pratiquement la mort des otages.

L’une des déclarations les plus honteuses de Biden, certaines presses et les pros-sionistes a été leur tentative d’associer la résistance des Palestiniens contre le régime d’apartheid israélien au génocide des Juifs d’Europe pendant l’Holocauste !!! «Cette attaque contre Israël a fait remonter à la surface des souvenirs douloureux et des cicatrices laissées par un millénaire d’antisémitisme et de génocide».

Il s’agit d’une déformation totale de l’histoire. Les Palestiniens n’ont aucun lien historique avec les pogroms anti-juifs meurtriers et l’antisémitisme qui constituent une partie essentielle de l’histoire européenne. Ils n’ont joué aucun rôle dans l’Holocauste. Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que les Juifs étaient exterminés par millions, les États-Unis ont gardé leurs frontières fermées. En 1939, le bateau à vapeur Saint Louis, un navire transportant plus de 900 réfugiés juifs, a été refoulé des États-Unis et contraint de retourner en Europe, un épisode emblématique de l’indifférence des États-Unis face à la persécution des Juifs d’Europe.

Et n’oublions pas que ce sont les européens (nazis, fascistes, …) qui pourchassaient et exterminaient les juifs.

Et n’oublions pas qu’il y a moins de trois semaines, l’ensemble du Parlement canadien ainsi que des ambassadeurs et des représentants de tous les pays de l’OTAN se sont levés et ont applaudi Yaroslav Hunka, un vétéran de la Waffen-SS ukrainienne, responsable du massacre des Juifs sous la direction de l’Allemagne nazie.

Biden comme ses apparentés n’ont pas cessé de nous évoquer  «l’État juif et démocratique d’Israël» ! Un État juif et démocratique est une contradiction dans les termes. Un État construit sur la base d’une identité ethnique est intrinsèquement antidémocratique. En outre, cette perspective accepte entièrement la position de Netanyahou et de l’establishment politique israélien selon laquelle ils représentent le «peuple juif», impliquant faussement l’ensemble de la population israélienne dans les crimes qui sont perpétrés.

Comment la France et d’autres Etats européens qui mènent des guerres hybrides contre l’islam sous prétexte de l’laïcité, acceptent-ils ce genre de notions ! ?

Biden, ses associés et leurs propagandistes ont déclaré: «Les terroristes ont délibérément ciblé des civils et les ont tués. Nous respectons les lois de la guerre» !!! Mais que racontent-ils? La seule loi défendue par ces dirigeants occidentaux  est celle de la violence et du pillage impérialistes effrénés.

Leur mensonge contre les Palestiniens s’inscrit dans une pratique bien connue. Qu’elle réclame un changement de régime et une guerre pour remporter la victoire en Russie ou qu’elle incite à une guerre totale au Moyen-Orient, la classe dirigeante occidentale agit avec une insouciance et une brutalité totales.

Le discours de Biden et des sionistes est un avertissement pour le monde entier. L’impérialisme américain a adopté les principes de la violence militaire illimitée et de la punition collective contre les populations civiles. Il veut lancer un message aux Russes et aux Chinois qu’il ne fera pas de concessions  et qu’il ne lâchera rien.  S’il n’est pas stoppé, le déchaînement meurtrier actuellement infligé à Gaza sera le sort de millions de personnes dans le monde.

Dans plusieurs pays occidentaux ‘’des droits de l’homme !’’ et ‘’des libertés d’expression’’, dont la France les rassemblements pro-palestiniens sont interdits tandis que les pro-israélites sont autorisés et protégés.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a ordonné jeudi l’interdiction en France des « manifestations pro-palestiniennes parce qu’elles sont susceptibles de générer des troubles à l’ordre public », avec des interpellations et amendes à la clé pour les contrevenants.

De son côté, le tribunal administratif de Paris a confirmé l’interdiction de la manifestation en soutien au peuple palestinien prévue place de la République, rejetant les recours d’association qui demandaient son maintien.

Dans une circulaire du mardi 10 octobre, le ministre de la justice, Eric Dupond-Moretti, a demandé aux procureurs une « réponse pénale ferme et rapide ».

Dans ce court document de trois pages, le garde des sceaux écrit que « la survenance [des attaques du  7 octobre est de nature à engendrer une recrudescence d’infractions à caractère antisémite, qu’il s’agisse d’atteintes à l’intégrité physique de personnes issues de la communauté juive, de dégradations de lieux de culte ou encore de propos susceptibles de revêtir les qualifications d’apologie du terrorisme ou de provocation directe à des actes de terrorisme ».

Brandir un drapeau du Hamas en manifestation peut être constitutif du délit d’apologie du terrorisme, selon l’ancien ‘’avocat’’. Eric Dupond-Moretti estime également que tombent sous le coup de cette qualification les « propos vantant les attaques, en les présentant comme une légitime résistance à Israël » tout comme la « diffusion publique de messages incitant à porter un jugement favorable sur le Hamas ou le Jihad islamique » !

Mais, fort heureusement, des voix d’autres pays et même occidentaux, ne se laissent pas intimider par l’avalanche de propagande déversée par tous les gouvernements impérialistes et tous les grands médias. Il est urgent de construire un mouvement mondial de masse contre la guerre, unifiant les travailleurs et les jeunes de toutes les ethnies, religions et nationalités dans la lutte contre l’impérialisme.

En Amérique, des Juifs américains, israélites, et européens manifestent contre Israël suite aux massacres du Hamas

Alors que la plupart des organisations juives américaines se sont mises en mode urgence ce week-end pour organiser des rassemblements pro-israéliens, tous les Juifs américains n’ont pas regagné la « tente communautaire » en ce qui concerne le soutien à l’État juif en guerre.

 « Nous ne pouvons pas et ne dirons pas que les actions d’aujourd’hui des militants palestiniens ne sont pas provoquées », peut-on lire dans la déclaration d’IfNotNow, organisation fondée en 2014 pour protester contre l’aide américaine à la défense israélienne.

« Chaque jour de plus sous le système d’apartheid israélien est une provocation. Le siège de Gaza est une provocation », dit le communiqué.

En ce qui concerne les civils assassinés dans les attaques de samedi, IfNotNow a déclaré : « Leur sang est sur les mains du gouvernement israélien, du gouvernement américain qui finance et excuse leur imprudence, et de tous les dirigeants étrangers qui continuent de fermer les yeux sur des décennies d’oppression palestinienne, mettant en danger les Palestiniens et les Israéliens. »

Ces déclarations reflètent une certaine réalité des campus universitaires, où les activistes des deux bords du conflit israélo-palestinien luttent pied à pied, explique l’historienne Sara Hirschhorn, professeure d’études israéliennes à l’Université Northwestern. Il y a eu un changement radical parmi les jeunes sur le soutien à Israël, avance-t-elle.

« Il y a un changement générationnel parmi les jeunes Juifs américains milléniaux qui est signifié dans cette déclaration (IfNotNow), et cela suggère qu’il y a des changements d’attitude ici », a déclaré Hirschhorn au Times of Israel lundi.

Sur de nombreux campus, souligne Hirschhorn, « on demande aux jeunes Juifs de laisser leur sionisme à la porte de la cause progressiste. S’ils entendent de leurs pairs que le sionisme représente le fanatisme, l’injustice et le racisme, pourquoi prendraient-ils fait et cause pour Israël ? »

Aux États-Unis, le soutien juif à Israël a commencé à s’éroder il y a de cela une cinquantaine d’années, estime Hirschhorn. Bien que les raisons de la désunion d’aujourd’hui soient variées, un nouvel élément s’est ajouté l’an dernier, dit-elle.

« L’actuel gouvernement israélien et certaines de ses politiques ont été un véritable électrochoc et une source de crainte pour les Juifs américains, en particulier pour ceux qui commencent à se demander si la relation entre Israël et la diaspora repose sur des valeurs communes », explique Hirschhorn, ajoutant que de nombreux étudiants juifs étaient « profondément attachés aux valeurs progressistes et à l’activisme ».

« Les Juifs de Harvard pour la libération »

On voit beaucoup de keffiehs autour du cou des étudiants de l’Université Harvard depuis dimanche, dit au Times of Israel Alex Bernat, étudiant en première année en génie électrique et informatique.

Le Comité de solidarité avec la Palestine de Harvard a lancé le mouvement « Keffieh Thursday » à Harvard bien avant les attaques de ce week-end, de sorte que Bernat était habitué à voir environ « 10 ou 20 » personnes portant le keffieh les jeudi.

Malgré tout, ce dimanche, Bernat s’est dit « choqué » de voir tant de personnes de sa connaissance porter un keffieh, jusqu’à des camarades de classe.

En France,  la France insoumise, malgré les attaques et menaces multiples, résiste et maintien son point de vue qui est exprimé dans un communiqué et par ses représentants. « L’offensive armée de forces palestiniennes menées par le Hamas intervient dans un contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Nous déplorons les morts israéliens et palestiniens. »

Des manifestants pro-Palestine ont bravé l’interdiction de se rassembler du gouvernement. À Paris, plus de 3 000 personnes ont protesté sur la place de la République jeudi en soutien aux Palestiniens, indique la préfecture de police de Paris, chiffre confirmé par la justice administrative. Ils n’ont pas hésité à scander : « Palestine vaincra », « Israël assassin, Macron complice » ou encore « Sionistes, vous êtes des terroristes ». Le monument au centre de la place a été tagué d’un « Free Palestine ». Des jets de projectiles ont été lancés sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec un canon à eau et du gaz lacrymogène pour disperser la foule.  Au moins dix personnes ont été interpellées et 24 verbalisations ont été dressées par les forces de l’ordre, selon un premier bilan.

Des rassemblements similaires ont été aussi organisés dans plusieurs villes européennes.

Avec ce comportement Occidental (mensonges, brutalité, criminalité, fascisme, racisme, …), les régimes autoritaires ont bien raison de s’opposer à la ‘’démocratie occidentale’’ et ses soit disant ‘’liberté, égalité et respect des droits humais’’ !

Vladimir Poutine juge “inacceptable” le siège de Gaza et le compare à celui de Léningrad par les nazis

Le président russe Vladimir Poutine a jugé vendredi “inacceptable” le siège de la bande de Gaza par l’armée israélienne, le comparant à celui de la ville soviétique de Léningrad par les Nazis pendant la Seconde guerre mondiale.

Selon Vladimir Poutine, Israël s’apprête à faire à Gaza quelque chose de “comparable au siège de Léningrad”. “C’est inacceptable. Plus de deux millions de personnes y vivent. Tout le monde ne soutient pas le Hamas”, a ajouté le président russe au cours d’une conférence de presse à Bichkek au Kirghizstan.

La Chine affirme que la cause du conflit est “l’injustice” subie par les Palestiniens

Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré vendredi que la cause du conflit entre Israël et le Hamas était une “injustice historique” contre les Palestiniens, à l’issue d’une rencontre avec le chef de la politique étrangère de l’UE à Pékin.

“La racine de ce problème réside dans le long retard dans la réalisation de l’aspiration de la Palestine à établir un Etat indépendant et dans le fait que l’injustice historique subie par le peuple palestinien n’a pas été corrigée”, a déclaré Wang après avoir rencontré Josep Borrell.

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a accusé lundi l’entité  de « génocide » contre les Palestiniens, après l’annonce  d’un « siège total » de la bande de Gaza, évoquant la réaction du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.

« Le secrétaire général de l’ONU a publié un communiqué que nous avons lu attentivement, un communiqué d’alerte, d’alarme, face au génocide qui a commencé contre le peuple palestinien à Gaza », a déclaré M. Maduro à la télévision. .

Tout en reconnaissant les « inquiétudes légitimes de l’entité sioniste pour sa sécurité », M. Guterres s’est dit « profondément bouleversé » lundi soir par l’annonce du « siège complet » de la bande de Ghaza.

« Par le passé, nous avons déjà vu des massacres, des massacres brutaux, contre le peuple palestinien », a également déclaré le dirigeant du Venezuela, estimant que les Palestiniens subissent un « nouvel apartheid ».

« Nous exigeons un cessez-le-feu, nous exigeons le respect des décisions des Nations unies, nous exigeons le respect des droits des peuples et exigeons que les négociations de paix soient immédiatement ouvertes pour rétablir les droits historiques du peuple palestinien à l’indépendance. , au territoire, à la paix. Je plaide pour le peuple palestinien, je plaide pour la paix », a encore dit le président Maduro.

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